L’ail, ce remède millénaire adopté dans tous les pays
Le pouvoir guérissant de l’ail
transmis de génération en génération
Avant d’aller plus loin, qu’elle est son histoire et d’où vient-il. Un rapide coup d’oeil sur son palmarès historique montre que l’ail est une plante très ancienne, on estime qu’elle est apparue, sous forme cultivée, il y a plus de cinq ou six mille ans, en Asie centrale (où il est toujours utilisé à hautes doses, notamment en chine), a tenu, à toutes les époques et dans la plupart des pays, une place importante tant en thérapeutique qu’en religion.
L’ail a été adopté dans tous les pays du monde. Grâce à ses propriétés thérapeutiques, ils l’ont intégré à leur médecine folklorique traditionnelle. Les remèdes qui suivent n’ont pas l’approbation des docteurs, mais ils ont survécu à l’épreuve du temps. Ceux qui croyaient au pouvoir guérissant de l’ail ont transmis leurs connaissances de génération en génération.
Autour du Monde
De nombreux pays ont des traditions similaires ce qui prouve que l’ail a été accepté à l’échelle internationale en tant que guérisseur de maladies. Sa réputation a souvent franchi les frontières et embrasse différentes cultures. Toutes les grandes civilisations, des Égyptiens aux Romains, des Chinois aux Grecs, l’ont érigé au rang de remède universel contre de nombreux maux.
Les Égyptiens en faisaient une ration journalière aux ouvriers qui construisent la Grande Pyramide pour leur donner des forces et les protéger des épidémies. L’ail était utilisé pour lutter contre l’hypertension, les troubles cardiaques et les parasites. C’était aussi un symbole de force, de résistance et de courage. C’est la raison pour laquelle, les Égyptiens en donnaient d’ailleurs aux esclaves afin d’améliorer leur force et leur endurance, et donc leurs performances.
Les Grecs, qui l’appellent « La Rose puante », en font une grosse consommation, surtout les Athéniens. Ils l’utilisent par précaution pour se prévenir contre la plupart des maladies. L’ail était prisé pour ses vertus tonifiantes, anti-infectieuses et bonnes pour le système cardio-vasculaire.
Chez les Romains, le peuple, les soldats, les moissonneurs se nourrissent d’ail tous les jours parce qu’il est tenu pour un puissant tonique. Les membres de la classe dirigeante encourageaient les ouvriers, athlètes et soldats à le manger, mais ne voulaient pas son odeur sur eux-mêmes. On donnait de l’ail à manger aux journaliers pour leur permettre de travailler plus dur. Les Athlètes mangeaient de l’ail pour avoir plus de force et d’endurance.
Autour du monde…à suivre
[remèdes d’autrefois]